Vécu comme un prolongement de son être le plus intime, le sari épouse et magnifie comme nulle autre parure le corps de la femme indienne. Rencontre avec les multiples facettes d’un drapé qui défie le temps.

EXTRAIT : « Une des premières raisons d’aller en Inde, et pas seulement pour un homme, est d’y regarder marcher les femmes, dans tous les milieux, à condition qu’elles portent encore – ce qui se perd – les vêtements traditionnels”. Lorsque Jean-Claude Carrière évoque les vêtements traditionnels, il fait en premier lieu référence au sari, indissociable de la femme indienne, qui apparaît comme son élément le plus intime, comme sa seconde peau. Cette bande de tissu ( śāṭī en sanscrit ) longue de 5 mètres et large d’1,20 mètre environ, se présente comme un drapé, qui tient sans couture et tourne autour du corps en prenant appui sur une épaule. « 

A retrouver sur ULTREÏA! #10

© CHRISTOPHE BOISVIEUX

A découvrir aussi le nouveau livre:  L’Inde dans un miroir – Roland et Sabrina Michaud – Oct 2016 ( Editions Hozhoni).