Georges Bernanosou le courage de la liberté
Extrait: » « Et maintenant, à nous deux » : telles furent, d’après le témoignage d’André Malraux, les dernières paroles que Georges Bernanos aurait prononcées avant de mourir, le 5 juillet 1948. S’il est vrai que la manière dont on entre dans la mort résume et déchiffre toute une vie, le cas de cet écrivain parfois décrit comme “le Dostoïevski français” en offre un bel exemple.
On entend en effet dans cet adieu et ce défi les trois principes qui l’ont toujours guidé : le présent, le combat, le mystère. Trois clés pour comprendre une vie assez courte – à peine plus de soixante ans – mais d’une intensité rare. »
Portrait à retrouver dans ULTREÏA! #13