De l’oasis de Fayoum sont sortis les plus anciens portraits peints de l’histoire de l’art mondial et les plus saisissantes des images de l’Antiquité. Face-à-face bouleversant où l’intensité des regards grands ouverts sur la mort nous interpelle depuis les confins de l’éternité.

EXTRAIT : « Fin des années 1880, à une centaine de kilomètres du Caire. Le Fayoum, luxuriant jardin avec ses vergers, ses champs de soucis et de palmiers, et son légendaire lac Moéris léché par le désert… Des pilleurs de tombes mettent au jour une série de portraits peints inconnus jusqu’alors et que l’aridité du climat égyptien a précieusement conservés. (…) La technique employée pour peindre ces portraits,qui nous ressemblent à s’y méprendre, évoque la palette et la touche des grands maîtres occidentaux. »

A découvrir dans ULTREIA! n°2. 

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