Ispahan et sa place Naqsh-e Jahan sont des lieux où l’on se sent au centre du monde. Un centre dégageant une exubérance paradoxale, centripète plus que centrifuge, tournée vers la contemplation. Un espace où les mouvements de la “roue du monde” (samsâra) sont moins prononcés et où un “moteur immobile” semble à l’oeuvre. Plus on […]
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